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Historique de la lutte de l'ENSA ex-INA

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mercredi 23 septembre 2020

Urgent: Ahmed Yahiaoui acquitté | عاجل: حكم بالبراءة ليحياوي احمد

On vient d'être informé par nos collègues à l'université de Mascara que M. Ahmed Yahiaoui vient de bénéficier d'un acquittement.

علمنا قبل قليل من زملائنا في جامعة معسكر أن مجلس قضاء معسكر قد حكم بالبراءة في حق الاستاذ يحياوي احمد، و هذا بعد ان كان محكوما عليه في المحكمة الابتدائية ب18 شهرا نافذة.
زملاؤنا في معسكر، الذين نظموا وقفة احتجاجية على مستوى جامعة اسطمبولي، على غرار زملائهم في جامعات أخرى من الوطن، توجهوا فور علمهم بصدور القرار الى المؤسسة العقابية حيث استقبلوا زميلهم بحفاوة عند خروجه من السجن.
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lundi 5 février 2018

LE SOIR D'ALGERIE| Les membres de la LADDH se mobilisent

Réunis hier au niveau du bureau d’Oran de la LADDH, adhérents et sympathisants ont mis les dernières retouches concernant le déplacement de la délégation qui va se rendre à Ghardaïa en signe de solidarité et de soutien aux six accusés dans une affaire impliquant le président et le porte-parole du MDS, Hamid Ferhi et Fethi Ghares, le vice-président de la LADDH, Kaddour Chouicha, deux membres du conseil national de la LADDH, Ahmed Mansri et Abdelkader Kherba, ainsi que Nadir Dabouz, tous convoqués pour le 6 février 2018 pour être traduits en justice au niveau du tribunal de Ghardaïa pour : incitation à attroupement non armé, atteinte à corps constitué et non-respect d'une décision administrative.

Durant la rencontre d’hier, les présents ont rappelé les faits qui ont eu lieu en date du 13/07/2016, lorsque Me Salah Dabouz, président du bureau national de la LADDH, avait été convoqué pour être entendu par le juge d'instruction près le tribunal de Ghardaïa suite aux poursuites engagées contre lui par le parquet de Ghardaïa. En signe de solidarité avec Me Salah Dabouz, les personnes citées plus haut avaient fait le déplacement à Ghardaïa.

Lire la suite depuis son emplacement d'origine (LE SOIR D'ALGERIE) 


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jeudi 7 avril 2016

Communiqué du SESS en date du 04 avril 2016

Le Bureau national du SESS affilié à la CGATA (confédération Générale Autonome des Travailleurs en Algérie) qui suit la progression de la marche des enseignants contractuels constate que le régime Algérien utilise maintenant ce qu’il sait faire c'est-à-dire la répression. 

Ayant tablé sur un épuisement des enseignants et enseignantes il constate que ceux et celles qui sont aux portes d’Alger et qui n’ont pour seul arme que leur conviction ne sont pas prés de croire aux promesses et savent que dans ce pays rien ne se donne tout s’arrache. 

Le pouvoir Algérien dans son affolement utilise maintenant l’encerclement de la MAISON DES SYNDICATS de Bab Ezzouar comme parade à la mobilisation des syndicalistes et ce en totale contradiction avec les lois. La réquisition des forces de police étant utilisée pour protéger non pas les Algériens et leurs biens mais la nomenklatura et ses biens mal acquis. 

Face aux légitimes revendications des enseignants contractuels, qui finalement ne sont qu’une partie des revendications des travailleurs en Algérie, nous ne trouvons que répression alliée avec la corruption et la dilapidation sur lesquelles nous renseignent les affaires de ces derniers jours. Exfiltration de Chakib Khellil pour qu’il puisse se dérober à la justice d’autres pays, la notre étant dans un profond coma pour ce type d’affaires. Révélation du quotidien le Monde sur les pratiques du ministre Algérien de l’industrie et des mines Abdesslam Bouchouareb. La tentative désespérée de l’ancien ministre des finances Abdellatif BENHACHENOU pour se blanchir lui et les siens en accusant tous les Algériens d’avoir dilapidé la rente. Les nouveaux scandales concernant la SONATRACH. 

Le bureau national du SESS exprime sa solidarité totale avec les enseignants et enseignantes bloqués aux portes d’Alger. Il dénonce la répression exercée sur les enseignants contractuels ainsi que l’encerclement de la MAISON DES SYNDICATS. Il reste convaincu que seuls des actions du type de celle menée par les enseignants contractuels mais élargie à toutes les autres catégories de travailleurs qui seront menées en même temps et avec une coordination peuvent créer une pression réelle pour nous débarrasser de cette mafia. 



Alger le 04/04/2016
Le Coordonnateur National

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vendredi 11 mars 2016

El Watan | Sidi Bel Abbès : La protestation couve à l’université

Le Syndicat des enseignants du supérieur solidaires (SESS), réuni en assemblée générale mardi, a décidé d’une journée de protestation pour lundi prochain et du gel des délibérations des conseils scientifiques de l’université Djilali Liabès, suite à la condamnation, en février dernier, de 2 enseignants.

Le président du conseil scientifique et le vice-doyen chargé de la post-graduation de la faculté des sciences exactes ont, pour rappel, été condamnés à 6 mois de prison avec sursis et une amende de 300 000 dinars chacun pour avoir validé deux procès-verbaux du conseil scientifique. Lors de cette AG, les enseignants ont mis en évidence «le mutisme incompréhensible et l’absence totale de la tutelle concernant cette affaire, malgré que l’administration locale rejette les allégations de falsification de PV et confirme que c’est le mode de travail de cette institution scientifique, qu’est le conseil scientifique», indique un communiqué du SESS. Dans ce même communiqué, les enseignants rappellent que la conférence générale de l’Unesco de 1997 (art. 17 et 18) consacre les libertés académiques qui ne pourraient s’exercer qu’avec l’autonomie des établissements du supérieur.

Elle préconise aussi qu’il est du devoir des Etats membres de protéger l’autonomie des établissements d’enseignement supérieur contre toute menace d’où qu’elle vienne (art. 19). Pour le SESS, le verdict de la justice concernant ces 2 enseignants «fera jurisprudence et ouvrira la boîte de Pandore sur toutes les formes et sortes de remises en cause de l’autonomie des entités pédagogiques et scientifiques». Aussi, l’assemblée générale a exprimé son refus de voir que ces enseignants «soient des boucs émissaires» et considère que «leur condamnation revient à la condamnation de l’entité morale élue qu’est le conseil scientifique, dont les décisions sont collégiales et le fonctionnement est sous l’autorité de l’administration».

Selon le syndicat, d’autres actions seront menées après les vacances de printemps, comme le gel des activités au sein d’autres organes pédagogiques délibérants.

Abdelkrim Mammeri,  El Watan du 10 mars 2016.


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dimanche 28 février 2016

تيارت: التحقيقات الأمنية تخرج اساتذة جامعة ان خلدون للشارع | فيديو

فيما يلي تقرير تلفزيوني غطى الاحتجاج المنظم بجامعة تيارت تنديداً بالتحقيقات الأمنية




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mardi 23 février 2016

Libertés Académiques en Danger

Ce dimanche 21/02/2016, deux de nos collègues, le président du conseil scientifique et le vice doyen chargé de la post-graduation (secrétaire de séances du CSF) de la faculté des sciences exactes de l'université de Sidi Bel Abbès ont été condamnés à 6 mois de prison avec sursis et une amende de 300.000DA.

Les faits reprochés sont l'existence de deux PV. Dans un premier PV (minutes) de réunion du CSF figure une liste de jurys de soutenance de doctorat dont les avis de soutenances sont sous réserve que les revues de publication de leurs articles soient non payantes (conformément à la réglementation). Dans un deuxième PV (final et signé), le dossier de l’un des candidats a eu un avis défavorable après vérifications et constatation que la revue où est édité l'article est payante. Cette pratique de donner des avis favorables sous réserves a été instituée, même par d'autres CSF, pour éviter les lenteurs bureaucratiques aux candidats et éviter l'attente des réunions du CSF qui sont réglementairement en nombre limité (4 sessions ordinaires par an).

Malgré que les délibérations du conseil scientifique soient collectives et que ses avis ne soient que consultatifs, les personnes de deux de nos collègues ont été mises en cause. Nous rappelons que la constitution de notre pays consacre expressément les libertés académiques et de recherche scientifique. Ainsi, la pénalisation du travail du Conseil scientifique tombe en contradiction flagrante avec la loi fondamentale de la république, source de toutes les lois et règlements. 

La pénalisation de l’acte de gestion des activités pédagogiques et scientifiques pousserait à la désertion des enseignants de toutes les instances et responsabilités pédagogiques. Ceci entrainera à coup sûr la paralysie et le blocage de différentes structures de l'université et de cette dernière dans son ensemble.

Cet appel n’est pas dédié seulement à la solidarité avec nos collègues, tant qu’ils sont innocents, mais pour aussi tirer la sonnette d’alarme. Cette condamnation peut faire jurisprudence. Les pouvoirs publics, à leur tête notre tutelle, doivent poser des garde-fous pour protéger l’universitaire dans ses missions et tâches. 

Nous appelons à la mobilisation de tous les enseignants à se tenir prêts pour exiger la protection de l'enseignant et de sa dignité dans son travail.
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mardi 16 février 2016

Ecole Nationale Supérieure Agronomique (ENSA) d’El-Harrach : Communique de l’assemblée générale du 15 février 2016

Ecole Nationale Supérieure Agronomique (ENSA) d’El-Harrach : Communique de l’assemblée générale du 15 février 2016
Les enseignants de l’école nationale supérieure agronomique réunis en assemblée générale le lundi 15 février 2016 :

- constatent que les poursuites judiciaires contre notre collègue continuent. En effet, un mémorandum a été déposé à la fin du mois de juillet 2015 au niveau de la cour suprême dans lequel l’établissement, par le biais de ses avocats, demande une requalification de l’accusation de l’abus de confiance en corruption. Le responsable de l’établissement est en mesure de mettre un terme à cette cabale judiciaire qui a trop duré. Sa responsabilité est engagée dans la poursuite de cette affaire. Tous les arguments évoqués sur l’absence d’une prise en charge effective de ce dossier par le responsable de l’établissement ne sont pas recevables, il est exigé un arrêt immédiat des poursuites judiciaires contre notre collègue.

- prennent acte du fait que les demandes formulées dans le communiqué de l’assemblée générale du 10/09/2015 n’ont pas été prises en charge par le responsable de l’établissement.

- Il est également exigé :
  • l’annulation immédiate du blâme infligé de façon illégale et abusive par l’ex-directrice à une collège,
  • la réhabilitation immédiate du post-graduant sanctionné à tort pour une accusation de plagiat imaginaire.


La date de l prochaine assemblée générale sera communiquée ultérieurement.

Les délégués de la section SESS/ ENSA El-Harrach





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