Triste est la situation de l'université algérienne. Triste est l'image donnée par les universitaires algériens. Comment accepter qu'une poignée d'enseignants d'un département prennent en charge seuls une question aussi cruciale que le respect du métier d'enseignant et le respect de ses prérogatives? Comment accepter que ces mêmes enseignants soient punis pour leurs positions et leur lutte. Pourra-t-on accepter de continuer à percevoir nos salaires alors que ces enseignants en seraient privés pour fait de grève? Peux-t-on encore accepter la fuite en avant de la tutelle?
Les enseignants du département d'anglais de l'université d'Alger2 doivent certainement se sentir seuls et nous les autres on devra se sentir coupables si on ne fera rien.
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