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Communiqués et declarations

Historique de la lutte de l'ENSA ex-INA

samedi 10 février 2018

محاكمة النشطاء في غرداية | بيان من الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق الانسان

البيان رقم 03 - 18
محاكمة النشطاء في غرداية

تقدم كل من حميد فرحي وفتحي غراس منسق الحركة الديموقراطية والاجتماعية والناطق الرسمي لها، قدور شويشة ناءب رئيس الرابطة الجزائية للدفاع عن حقوق الإنسان، عبد القادر خربة ومنصري أحمد عضوي المجلس الوطني للرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق الإنسان ونذير دبوز الناشط المستقل امام قسم الجنح لدى محكمة غرداية بعد استدعاءهم من طرف السيد وكيل الجمهورية بتهم التحريض على التجمهر غير المسلح، مخالفة قرار اداري وإهانة هيئة نظامية.

تاسس فريق من المحامين مشكل من الاساتذة؛ صالح دبوز، نور الدين احمين، عبد الغاني بادي وايمجدوبن نبيلة للدفاع عن المجموعة.

تفاجأ الحاضرين من الطلب الغريب الذي قدمه السيد وكيل الجمهورية الذي جهز ملف القضية بمعرفته واستدعى المتهمين لجلسة يوم 6 فيفري 2018 بطريقة رسمية ليطلب تأجيل القضية لإحضار وثائق قال أنها مهمة لدعم الملف ؟؟

ومن جهة ثانية منع الحاضرين من الوقوف في نفس المكان الذي منعوا من الجلوس فيه يوم 13 جويلية 2016 وهي مقهى تقع بمحاذاة محكمة غرداية تطبيقا لتعليمات والي غرداية وفق تصريحات ضباط الشرطة الذين حاصروا النشطاء واعتقلوا الصحفي فريد بوحطة أثناء اجراءه حوار مع كل من رئيس الرابطة الجزائية للدفاع عن حقوق الإنسان ونائبه ومنعوه من مواصلة نشاطه خرقا لأحكام الدستور التي تضمن حرية الاجتماع والإعلام والتعبير.

تندد الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق الإنسان بتوظيف أجهزة الأمن والقضاء بصفة عامة لقمع الحريات المكفولة دستوريا وتمادي السلطات العمومية في غرداية بصفة خاصة في تحويل إقليم الولاية إلى ما يشبه سجن كبير يقمع فيه كل نشاط سلمي بتوجيهات وتعليمات غير دستورية تصدرها السلطات العمومية للاجهزة الامنية مباشرة مستندة على ما تسميها بيانات رئاسة الجمهورية وتوظيف جهاز القضاء لقمع المواطنين ومعاقبتهم فرديا وجماعيا لمنع اي احتجاج عن القمع الممارس ضدهم ومنعهم من التضامن فيما بينهم واعتبار ذلك عمل إجرامي.

غرداية في 2018/02/06
عن المكتب الوطني الرئيس 
ا.صالح دبوز.
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Communiqué de la Ligue Algérienne de Défense des Droits de l'Homme (06 février 2018).

Communiqué N° 03 - 18

Jugement d'activistes 

Hamid Farhi et Fathi Gharas, coordinateur national du Mouvement démocratique et social, son porte-parole officiel, Kadour Chouicha, vice président de la LADDH, Abdelkader Kherba et Ahmed Mansri, membres du Conseil National de la LADDH et Nadir Debouz activiste indépendant, tous convoqués par le procureur  de la république pour incitation à un attroupement non armé, non respect d'une décision administrative et outrage à un corps constitué.

Une équipe d'avocats constituée des maîtres , Salah Dabouz, Noureddine Ahamin, Abdel-Ghani Badi et Imajdoubene Nabila s'est formée pour défendre le groupe.

L'assistance a été surprise par l'étrange demande, présentée par le procureur  de la république, qui a pourtant préparé le dossier et convoqué officiellement les prévenus à comparaître le 6 février 2018 pour demander ensuite le report de l'affaire.

D'autre part et d'après les déclarations d'officiers de police qui ont encerclé les activistes et arrêté le journaliste Farid Bouhatta lors d'une interview avec le président et le vis-président de la LADDH, et empêchés les activistes de se rencontrer au même endroit où le groupe était interpellé à proximité du tribunal de Ghardaïa quand ils ont pris un café la première fois, c'est sur ordre du Wali qu'ils agissaient ce qui constitue  une violation des dispositions de la constitution qui garantissent la liberté de réunions, d'information et d'expression.

La LADDH dénonce l'instrumentalisation des services de sécurité et de la justice en général pour réprimer les libertés pourtant garanties par la constitution et la persistance des autorités publiques de Ghardaïa notamment à transformer le territoire de cette Wilaya, en une grande prison se référant aux communiqués  de la présidence de la république ainsi que l'instrumentalisation du pouvoir judiciaire pour réprimer les citoyens et les punir individuellement et collectivement pour empêcher toute protestation pacifique contre la répression pratiquée contre eux et les empêcher de solidarité entre eux, considérant cela comme des actes criminels.

Alger le 06/02/2018
pour le bureau national 
le président Me Salah Dabouz
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lundi 5 février 2018

La CSI et les FSI protestent contre le procès de syndicats indépendants en Algérie


La CSI, IndustriALL, la PSI et l’UITA ont adressé, aujourd’hui, une lettre conjointe à l’ambassade de l’Algérie à Genève pour protester contre le procès imminent de dirigeants syndicaux affiliés à la Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA).


Le secrétaire général du SNATEGS, Abdelkader Kawafi, et le coordinateur national du SESS, Kaddour Chouich, seront jugés demain 6 février 2018 pour des chefs d’accusation de « diffamation » et « d’incitation au rassemblement non autorisé », pour avoir simplement mené leurs activités syndicales légitimes.


Les dirigeants syndicaux de la CGATA continuent de faire l’objet d’intimidations et de procédures judiciaires et de se voir infliger des amendes et des peines de prison en représailles à leur défense de la liberté syndicale de leurs membres. « Nous exprimons toute notre solidarité avec ces dirigeants syndicaux qui sont persécutés. En juin 2017, la Commission de l’application des normes de l’OIT a exhorté le gouvernement algérien à mettre fin à toutes les pratiques d’intimidation et de violence policière contre les dirigeants syndicaux, à procéder immédiatement à l’enregistrement des syndicats indépendants et à réintégrer les travailleurs licenciés en raison de leur militantisme syndical. Nous attendons du gouvernement qu’il respecte ces demandes », a déclaré Sharan Burrow, secrétaire générale de la CSI.




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LE SOIR D'ALGERIE| Les membres de la LADDH se mobilisent

Réunis hier au niveau du bureau d’Oran de la LADDH, adhérents et sympathisants ont mis les dernières retouches concernant le déplacement de la délégation qui va se rendre à Ghardaïa en signe de solidarité et de soutien aux six accusés dans une affaire impliquant le président et le porte-parole du MDS, Hamid Ferhi et Fethi Ghares, le vice-président de la LADDH, Kaddour Chouicha, deux membres du conseil national de la LADDH, Ahmed Mansri et Abdelkader Kherba, ainsi que Nadir Dabouz, tous convoqués pour le 6 février 2018 pour être traduits en justice au niveau du tribunal de Ghardaïa pour : incitation à attroupement non armé, atteinte à corps constitué et non-respect d'une décision administrative.

Durant la rencontre d’hier, les présents ont rappelé les faits qui ont eu lieu en date du 13/07/2016, lorsque Me Salah Dabouz, président du bureau national de la LADDH, avait été convoqué pour être entendu par le juge d'instruction près le tribunal de Ghardaïa suite aux poursuites engagées contre lui par le parquet de Ghardaïa. En signe de solidarité avec Me Salah Dabouz, les personnes citées plus haut avaient fait le déplacement à Ghardaïa.

Lire la suite depuis son emplacement d'origine (LE SOIR D'ALGERIE) 


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ENSA: Communiqué de soutien à Chouicha en date du 04 février 2018

COMMUNIQUE DE L’ASSEMBLEE GENERALE DU 04/02/2018

Le coordonnateur national du syndicat des enseignants du supérieur solidaires (SESS), Mr Kaddour CHOUICHA (enseignant chercheur à l’USTOran) est convoqué le 06 février 2018, pour comparaître devant le tribunal de Ghardaia. Les griefs qui lui sont reprochés ne sont pas fondés. Les enseignants adhérents du SESS de l’ENSA d’El-Harrach, réunis en assemblée générale, ce jour,  expriment leur solidarité indéfectible au collègue K. CHOUICHA. Ils exigent des pouvoirs publics de cesser le harcèlement judiciaire à son encontre et de garantir le libre exercice des droits syndicaux et associatifs. Un sit-in devant l’administration de l’ENSA a été organisé avec le slogan : « Non au harcèlement judiciaire contre le collègue K. CHOUICHA».

La prochaine AG sera communiquée par affichage.

Les délégués ENSA El-Harrach



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mardi 2 janvier 2018

Ceux qui pensent que c'est impossible


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vendredi 1 décembre 2017

Soutien à H. Aboura et Solidarité


Le 19 septembre 2017, des enseignants de l’université de Mascara ont appelé à une assemblée générale pour débattre de l’état de leur université et des propos désobligeants et dégradants tenus par leur recteur lors de sa tournée dans les différentes facultés. Ces propos, indignes du rang d’un recteur, ont atteint les enseignants dans leur dignité et leur amour propre.

Ce recteur considère l’appel à une assemblée générale comme un acte de lèse-majesté donc une rébellion. Fort de ses appuis, supposés, au sein de l’administration ministérielle, ce recteur piétine la réglementation et contrevient à l’instruction ministérielle du 04 mai 2016 ; au sujet du recours à la justice; et décide de déposer plainte « au pénal » contre un des enseignants H. Aboura. Par cet acte insensé, ce recteur démontre son mépris envers la réglementation et les droits fondamentaux de l’universitaire, à savoir les libertés d’expression et de réunion. 


Le collectif des enseignants de l’université de Sidi Bel Abbès apporte tout son soutien agissant à notre collègue Halim Aboura et à tous les collègues de l’université de Mascara dans leur combat contre l’arbitraire, le népotisme et la mauvaise gestion et pour le respect des lois et de leur dignité. Le collectif condamne les brimades et toutes les mesures illégales prises contre les enseignants (suspensions de stages, …) pour l’instauration d’un climat de peur et de terreur. Le respect de la dignité de l’enseignant, le respect des lois, le dialogue et la concertation sont les seuls moyens pour une gestion saine et efficace. Le despotisme, la HOGRA et le manque de respect à la personne humaine sont les meilleurs facteurs déclenchant d’une explosion sociale.


Afin de ramener le calme et la sérénité au sein de l’université de Mascara, le collectif des enseignants de l’université de Sidi Bel Abbès appelle à l’intervention des autorités compétentes pour le retrait de la plainte et l’arrêt de toutes les mesures coercitives prises contre les autres enseignants.


Sidi Bel Abbès, le 28 novembre 2017
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Déclaration du BN du SESS en date du 30 novembre 2017

Le Bureau national du SESS vient d'être informé que le chantage au logement est pratiqué au sein de l'Université des Sciences et technologie de Bab Ezzouar par le syndicat fantôme des enseignants universitaires affilié à l'UGTA. Les enseignants demandeurs de logement sont destinataires d'un mail à travers lequel il leur est demandé de déposer la demande de logement et d'une demande d'adhésion auprès du dit syndicat qui aurait négocié avec la tutelle l'octroi de logements sociaux. 

Cette pratique contraire à la règlementation en vigueur est menée en silence pour ne pas alerter les enseignants et enseignantes de la dite université qui n'accepteront surement pas que ce genre de combine se déroule avec cette liberté. 

Le Bureau national du SESS dénonce cette pratique frauduleuse qui remet en cause le principe de l'adhésion volontaire à un syndicat, la gestion de la question du logement par une commission formée de collègues élus librement et l'impartialité de l'administration qui doit travailler avec la commission élue et non avec le syndicat de son choix. 

Le Bureau national du SESS sait que cela n'a été possible que parce que les autorités veulent faire le vide au sein de l'Université Algérienne à travers l'instrumentalisation du ministère du travail et celui de l'enseignement supérieur.

Le Bureau national du SESS espère voir ceux et celles qui savent ce que veut dire l'engagement et l'autonomie syndicale, intervenir pour refuser ce type de basse pratique, qui n'est surement pas la seule, dans toutes les universités du pays. 

Oran le 30-11-2017 
P/Le Bureau national Le Coordonnateur National 
Kaddour CHOUICHA




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mardi 28 novembre 2017

Solidarité H. ABOURA: Quelques images du Rassemblement devant le rectorat de l'Université de Mascara tenu le 27 novembre 2017







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Solidarité H. Aboura | Revue de presse: Protestation des enseignants universitaires à Mascara

Le SESS (Syndicat des enseignants du supérieur solidaires) a organisé une sit-in de dénonciation devant l’université de Mascara aujourd’hui lundi à 10 heures pour protester contre le recteur M. BENTATA Samir  qui a traduit en justice un enseignant Mr Halim ABOURA parce que ce dernier avait appelé à une Assemblée Générale pour débattre avec les enseignants et enseignantes de l’Université de Mascara  de la situation au sein de leur établissement et notamment du comportement du Recteur.


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Communiqué du Bureau National en date du 27-11-2017

Conformément à la décision prise par le bureau national du SESS un rassemblement de protestation s'est tenu le Lundi 27-11-2017 au sein de l'université STAMBOULI Mustapha  de Mascara pour soutenir le membre du bureau national du SESS Mr Halim ABOURA suite à la plainte déposée au pénal contre lui par Mr Le Recteur de l'université Mr Samir BENTATA et ce pour avoir tenu une assemblée générale des enseignantes et enseignants.

Ce rassemblement a vu le rassemblement d'enseignantes et d'enseignants de la dite Université, celle des membres du bureau national ainsi que d'autres enseignants venus d'autres établissements universitaires.

Dans toutes les prises de parole  il a été précisé que la plainte contre Mr ABOURA a pour objet d'instrumentaliser la justice pour faire peur à la composante enseignante de l'université et espérer briser ainsi toute constitution de contre pouvoir syndical. La présence des enseignantes et enseignants à ce rassemblement indique que cette stratégie n'a pas réussie et qu'elle a au contraire mis en relief que seule la reprise de l'activité syndicale peut permettre à l'enseignant universitaire de retrouver sa place, toute sa place, au sein de l'université nationale et permettre aussi à l'université nationale de stopper, dans un premier temps, la dérive qui l'emporte, chaque jour de plus en plus, et qui l'éloigne de son rôle et de sa place.

Le débat avec les membres présents a fait ressortir la nécessité de poursuivre la structuration du SESS au sein de l'université de Mascara comme elle est en train de se faire au sein de l'ENSA (Ecole nationale des sciences agricoles d'El Harrach) et au sein de l'UDL de Sidi Belabbès (Université Djillali LIABES de Sidi Belabbes).

Le Bureau national du SESS lance un appel aux enseignants (es) qui se battent au niveau national pour éviter l'isolement   et pour  construire sur le terrain les solidarités nécessaires au rétablissement du droit,  du libre exercice du droit syndical ainsi qu'à la gestion démocratique de l'université Algérienne. 

Cette action, qui est la première en matière de solidarité avec Mr Halim ABOURA, doit se poursuivre parallèlement avec la structuration du SESS. Pour cela une campagne de sensibilisation et de mobilisation doit être poursuivie au niveau national.
      
      
Oran le 27-11-2017                                         
P/Le Bureau national  Le Coordonnateur National
Kaddour  CHOUICHA
      
                            
                                                                                          






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SOLIDARITE H. ABOURA: COMMUNIQUE DE L’ASSEMBLEE GENERALE DE L'ENSA DU 22/11/2017

Syndicat des Enseignants du Supérieur Solidaires -SESS 
نقابة أساتذة التعليم العالي المتضامنين
Anmalu n Iselmaden n Uswir Unnig Imsetliyen 

Section syndicale SESS 
ENSA El-Harrach El-Harrach le, 22 novembre 2017 

COMMUNIQUE DE L’ASSEMBLEE GENERALE DU 22/11/2017 

A l’appel du bureau national du SESS en date du 20/11/2017 pour soutenir  notre collègue ABOURA Halim (délégué syndical), de l’université de Mascara, esté en justice en pénal, par son recteur, parce qu'il a affiché un appel à une AG, les enseignants adhérents SESS de l’ENSA d’El-Harrach, réunis en assemblée générale, ce jour, ont marqué leur solidarité et leur détermination de soutien indéfectible au collègue ABOURA H. Ils exigent du recteur de retirer sa plainte et de se conformer à la note du MESRS du 24/05/2015 ; n° 666/2015, stipulant « que tout conflit au sein de l’université doit se régler auprès des instances de l’établissement et ne pas avoir recours à la justice». A la sortie de l’AG, un sit-in devant l’administration de l’ENSA a été organisé avec le slogan: « Les enseignants de l’ENSA d’El-Harrach sont solidaires avec le Collègue ABOURA Halim ». 

L’AG a validé la publication du mémorandum sur la situation à l’ENSA. 

La prochaine AG sera communiquée par affichage. 

Les délégués ENSA El-Harrach


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COMMUNIQUE DU BN du SESS en date du 20 novembre 2017

COMMUNIQUE DU BN du SESS en date du 20 novembre 2017

Le Recteur de l'Université de Mascara Mr BENTATA Samir vient de déposer une plainte au pénal contre Le membre du Bureau national du SESS (syndicat des enseignants du supérieur solidaires) Mr Halim ABOURA parce que ce dernier avait appelé à une Assemblée Générale pour débattre avec les enseignants et enseignantes de l'Université de Mascara de la situation au sein de leur établissement et notamment du comportement du Recteur. 

Cette plainte ne nous étonne pas car elle est la seule parade de ceux qui veulent régner en dictateur sans contre pouvoir ni limites, c'est-à-dire abuser du poste de Recteur, de l'argent du contribuable pour tenter de faire régner la peur en accusant tous ceux qui réclament un comportement respectueux de tout le personnel au sein de l'université Algérienne, de "mouchaouich" et "d'atteinte à la stabilité de l'université".  

Les enseignants et enseignantes n’ont d’autre choix que de se résigner à souffrir en silence ou rejoindre les pseudo syndicats et surtout ne pas rejoindre le SESS que le ministère du travail bloque en lui refusant l'enregistrement depuis 4 ans car il est porteur de l'esprit et de la cohésion qui a habité le CNES historique. 

Les membres du Bureau national ont décidé de se déplacer à l'Université de Mascara le Lundi  27/11/2017 pour apporter notre appui sans réserve à notre collègue Mr Halim ABOURA et aux enseignants et enseignantes qui veulent casser le mur de l'inertie qui, en même temps, est provoqué par une gestion catastrophique de l'université Algérienne mais qui participe aussi à cette dérive. 

Cette première action sera suivie par des rassemblements au sein des établissements universitaires dont la date sera fixée après concertation. 

Nous donnons rendez vous à nos amis (es) le lundi 27-11-2017. 

Oran le 20-11-2017 P/Le Bureau national Le Coordonnateur National 
Kaddour CHOUICHA 






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lundi 27 novembre 2017

ALGERIA: HIGHER EDUCATION TEACHERS UNION PROTEST

Algeria - The National Office of the Higher Education Teachers Union (SAS) decided to take part in a national protest in front of the headquarters of the University of Moasqar againstthe Dean of the University...

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lundi 20 novembre 2017

رئيس جامعة معسكر يقاضي أستاذا لأنه عقد إجتماعا نقابيا

قرّر المكتب الوطني لنقابة أساتذة التعليم العالي المتضامنين ، رسميا، الخروج هذا الاثنين 27 نوفمبر، لشن وقفة احتجاجية وطنية أمام مقر جامعة معسكر، وذلك على خلفية إقدام عميد جامعة معسكر السيد بن طاطا سمير، رفع دعوى فضائية ضد الأستاذ الجامعي وعضو المكتب الوطني للنقابة حليم عبورة، لأنه نادى لعقد جمعية عامة للنقابة مع أساتذة الجامعة لمناقشة وضع الجامعة وتصرفات رئيسها.


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dimanche 10 avril 2016

Communiqué B.N SESS en date du 09 avril 2016

Le Bureau  national du SESS réuni ce jour le Samedi 09-04-2016 à Oran au siège conjoint SNAPAP / LADDH a débattu de la situation que traverse le pays en général et celle que traverse luniversité en particulier.
Il constate que le pouvoir Algérien continue de piétiner la loi en matière denregistrement des organisations syndicales en refusant de libérer celui du SESS. Le Bureau National ne peut toutefois pas omettre de signaler le comportement machiavélique des autorités qui consiste, sous leffet de la campagne internationale auprès du BIT,  de remettre lenregistrement aux syndicats, celui de la Poste et celui de lElectricité et Gaz tout en faisant actionner sa machine répressive pour  licencier et suspendre les membres de la direction des deux syndicats afin de  casser la dynamique syndicale.
De fait, le recours à la machine répressive vient de sétaler concernant la revendication portée par les collègues contractuels de léducation. Le bureau national demande aux enseignants des établissements du supérieur du centre de se déplacer vers nos collègues contractuels  pour montrer leur solidarité. Le Bureau national refuse que soit pris en otage des milliers denseignants et denseignantes sous couvert de niveau car si le niveau est à prendre en considération cela passe par lintégration des enseignants et par lamélioration de leurs conditions de vie et de travail pour quils puissent mieux se consacrer à leur travail. De même le recours à lencerclement de la MAISON DES SYNDICATS par les forces de police ne peut que nous renseigner sur la nature totalitaire du régime.
Cet harcèlement ne pourra faire dévier les militants pour la défense des libertés syndicales et pour le renforcement de la CGATA (Confédération Générale Autonome des Travailleurs en Algérie). Le Bureau national se déclare mobilisé pour participer à la marche prévue le 1er  Mai ainsi que pour le rassemblement de protestation prévu pour le début Juin devant le siège du BIT à Alger.
Nos collègues enseignants universitaires savent tous et toutes maintenant, avec le recul, que seul un syndicat représentatif, démocratique et revendicatif peut empêcher ladministration dexercer un arbitraire hégémonique au sein des établissements universitaires. Ils et elles doivent participer avec les délégués du SESS a créer des rapports de force favorables aux personnel enseignant au sein des établissements universitaires.
Seul cet engagement pourra pousser ladministration à respecter lenseignant et à ne pas le laisser se débrouiller tout seul face à la justice quand, en tant que fonctionnaire, il doit bénéficier de la protection de cette administration ainsi que cela est vécu au sein de luniversité Djillali Liabes de Sidi Bel Abbes.
        
Oran le 09/04/2016                  
P/le Bureau national 
Kaddour CHOUICHA             

                                     
                        
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jeudi 7 avril 2016

Communiqué du SESS en date du 04 avril 2016

Le Bureau national du SESS affilié à la CGATA (confédération Générale Autonome des Travailleurs en Algérie) qui suit la progression de la marche des enseignants contractuels constate que le régime Algérien utilise maintenant ce qu’il sait faire c'est-à-dire la répression. 

Ayant tablé sur un épuisement des enseignants et enseignantes il constate que ceux et celles qui sont aux portes d’Alger et qui n’ont pour seul arme que leur conviction ne sont pas prés de croire aux promesses et savent que dans ce pays rien ne se donne tout s’arrache. 

Le pouvoir Algérien dans son affolement utilise maintenant l’encerclement de la MAISON DES SYNDICATS de Bab Ezzouar comme parade à la mobilisation des syndicalistes et ce en totale contradiction avec les lois. La réquisition des forces de police étant utilisée pour protéger non pas les Algériens et leurs biens mais la nomenklatura et ses biens mal acquis. 

Face aux légitimes revendications des enseignants contractuels, qui finalement ne sont qu’une partie des revendications des travailleurs en Algérie, nous ne trouvons que répression alliée avec la corruption et la dilapidation sur lesquelles nous renseignent les affaires de ces derniers jours. Exfiltration de Chakib Khellil pour qu’il puisse se dérober à la justice d’autres pays, la notre étant dans un profond coma pour ce type d’affaires. Révélation du quotidien le Monde sur les pratiques du ministre Algérien de l’industrie et des mines Abdesslam Bouchouareb. La tentative désespérée de l’ancien ministre des finances Abdellatif BENHACHENOU pour se blanchir lui et les siens en accusant tous les Algériens d’avoir dilapidé la rente. Les nouveaux scandales concernant la SONATRACH. 

Le bureau national du SESS exprime sa solidarité totale avec les enseignants et enseignantes bloqués aux portes d’Alger. Il dénonce la répression exercée sur les enseignants contractuels ainsi que l’encerclement de la MAISON DES SYNDICATS. Il reste convaincu que seuls des actions du type de celle menée par les enseignants contractuels mais élargie à toutes les autres catégories de travailleurs qui seront menées en même temps et avec une coordination peuvent créer une pression réelle pour nous débarrasser de cette mafia. 



Alger le 04/04/2016
Le Coordonnateur National

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lundi 28 mars 2016

Enseignants sanctionnés : la justice déboute le centre universitaire de Tamanrasset

Les sanctions infligées à des enseignants harcelés et blâmés arbitrairement par la direction du centre universitaire de Tamanrasset vont être enfin levées.

Le tribunal administratif de la wilaya a débouté, le 15 mars, le centre universitaire dans l’affaire qui l’oppose aux 54 professeurs ayant pris part à un mouvement de grève pour exprimer leur ras-le-bol face à la dégradation de leurs conditions socioprofessionnelles. L’ex-directeur de cette structure, qui devrait agir dans le sens de la prise en charge des revendications formulées, n’a fait qu’enfoncer le clou en notifiant des avertissements à 30 enseignants et des blâmes à 22 autres, avant de procéder à des ponctions de 6 à 8 jours sur les salaires des grévistes. Ces derniers ont enfin eu gain de cause à travers l’annulation de toutes les décisions prises par l’administration du centre universitaire en vue «de souiller l’image et la réputation des chercheurs universitaires.
Le nouveau directeur du centre, installé en octobre 2015, a certainement hérité d’une situation catastrophique eu égard au climat délétère caractérisant les relations professionnelles dans cet établissement de l’enseignement supérieur, mais il se trouve obligé de rétablir tous les enseignants concernés dans leur droit», a-t-on exigé, en rappelant que la 5e chambre du Conseil d’Etat, haute instance judiciaire chargée de résoudre les conflits administratifs, a émis en janvier dernier la décision d’annuler l’arrêt du tribunal administratif de Tamanrasset qui avait, notons-le, reconnu l’illégalité de la grève, un arrêt sur la base duquel la direction du centre universitaire avait sanctionné les grévistes, alors contraints d’introduire un appel en cassation auprès du Conseil d’Etat. L’examen de leur action a débouché sur l’invalidation du premier jugement. La nouvelle direction est sommée de faire preuve de sagesse pour mieux gérer les conflits administratifs.
Ce n’est vraisemblablement pas le cas puisque le directeur du centre aurait, dans une déclaration faite à la même instance judiciaire, accusé les professeurs d’être des «perturbateurs» et de «vouloir ternir l’image du centre universitaire à travers leur action de protestation». Ce qui a suscité colère et indignation des enseignants, qui avaient cependant affiché leur bonne volonté de tourner la page. Cette histoire montre clairement les défaillances du ministère de tutelle et le malaise que vivent nos chercheurs et professeurs universitaires. Tout en affirmant l’exécution de l’arrêté du tribunal administratif, le secrétaire général du centre universitaire de Tamanrasset, Ramdane Chinoun, a déclaré que «les prélèvements effectués sur les revenus des grévistes ne seront pas remboursés». Il convient de rappeler qu’après le rassemblement tenu le 15 juin 2015 devant le centre universitaire, huit professeurs ont été violemment pris à partie par les agents de sécurité de l’établissement.
Ravah Ighil
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vendredi 11 mars 2016

Gel des activités des CSF et CSD


Ce jour, mardi 08 mars 2016, se sont réunis en assemblée générale les enseignants de l’université de Sidi Bel Abbès pour débattre des derniers évènements relatifs au Conseil Scientifique de la faculté des sciences exactes et des deux collègues condamnés par la justice.
            L’assemblée générale constate le mutisme ; incompréhensible ; et l’absence totale de la tutelle (le MESRS) concernant cette affaire, malgré que l’administration locale rejette les allégations de falsification de PV et confirme que c’est le mode de travail de cette institution Scientifique, qu’est le Conseil Scientifique. L’AG rappelle que la Conférence générale de l’UNESCO de 1997 (art. 17&18) consacre les libertés académiques qui ne pourraient s’exercer qu’avec l’autonomie des établissements du Supérieur. Elle préconise aussi qu’Il est du devoir des Etats membres de protéger l'autonomie des établissements d'enseignement supérieur contre toute menace, d'où qu'elle vienne (art. 19).  
            Cette intervention de la justice fera jurisprudence et ouvrira la boîte de Pandore sur toutes les formes et sortes de remises en cause de l’autonomie des entités pédagogiques et scientifiques. Qui prémunira demain les Comités Scientifiques, les Comités Pédagogiques, les Conseils de Discipline, la CUN, de l’épée de Damoclès qui est maintenant pendue au dessus de leurs « têtes » ?
            L’assemblée générale refuse que nos deux collègues soient des boucs émissaires et considère que leur condamnation revient à la condamnation de l’entité morale « élue » qu’est le CSF, dont les décisions sont collégiales et son fonctionnement est sous l’autorité de l’administration. L’administration, dans son ensemble, doit assumer ses responsabilités pour la protection de l’enseignant dans l’accomplissement de ses taches au sein de l’université.
            Afin d’alerter l’opinion publique sur la gravité de la situation à l’université et pour que le ministère (le ministre) intervienne pour la prise en charge de ce problème et la mise en place de mécanismes pour la protection de l’enseignant dans ses fonctions, l’AG appelle :
1- A une journée de protestation, le lundi 14 mars 2016, avec rassemblement à partir de 8h30 au niveau de la faculté des sciences exactes (Site I).
2- Au gel des activités et des délibérations des Comités et Conseils Scientifiques de l’université.

L’assemblée générale préconise, après les vacances de printemps, d’autres actions à préciser, comme le gel des activités au sein d’autres organes pédagogiques délibérants.



17. Le plein exercice des libertés académiques et l'accomplissement des devoirs et responsabilités énoncés ci-après supposent l'autonomie des établissements d'enseignement supérieur, c'est-à-dire la latitude nécessaire pour que ces établissements puissent prendre des décisions efficaces concernant leurs activités académiques, leurs règles de fonctionnement,…………..
18. L'autonomie est l'expression institutionnelle des libertés académiques et une condition nécessaire pour que les enseignants et les établissements de l'enseignement supérieur puissent s'acquitter des fonctions qui leur incombent.
19. Il est du devoir des Etats membres de protéger l'autonomie des établissements d'enseignement supérieur contre toute menace, d'où qu'elle vienne.
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El Watan | Sidi Bel Abbès : La protestation couve à l’université

Le Syndicat des enseignants du supérieur solidaires (SESS), réuni en assemblée générale mardi, a décidé d’une journée de protestation pour lundi prochain et du gel des délibérations des conseils scientifiques de l’université Djilali Liabès, suite à la condamnation, en février dernier, de 2 enseignants.

Le président du conseil scientifique et le vice-doyen chargé de la post-graduation de la faculté des sciences exactes ont, pour rappel, été condamnés à 6 mois de prison avec sursis et une amende de 300 000 dinars chacun pour avoir validé deux procès-verbaux du conseil scientifique. Lors de cette AG, les enseignants ont mis en évidence «le mutisme incompréhensible et l’absence totale de la tutelle concernant cette affaire, malgré que l’administration locale rejette les allégations de falsification de PV et confirme que c’est le mode de travail de cette institution scientifique, qu’est le conseil scientifique», indique un communiqué du SESS. Dans ce même communiqué, les enseignants rappellent que la conférence générale de l’Unesco de 1997 (art. 17 et 18) consacre les libertés académiques qui ne pourraient s’exercer qu’avec l’autonomie des établissements du supérieur.

Elle préconise aussi qu’il est du devoir des Etats membres de protéger l’autonomie des établissements d’enseignement supérieur contre toute menace d’où qu’elle vienne (art. 19). Pour le SESS, le verdict de la justice concernant ces 2 enseignants «fera jurisprudence et ouvrira la boîte de Pandore sur toutes les formes et sortes de remises en cause de l’autonomie des entités pédagogiques et scientifiques». Aussi, l’assemblée générale a exprimé son refus de voir que ces enseignants «soient des boucs émissaires» et considère que «leur condamnation revient à la condamnation de l’entité morale élue qu’est le conseil scientifique, dont les décisions sont collégiales et le fonctionnement est sous l’autorité de l’administration».

Selon le syndicat, d’autres actions seront menées après les vacances de printemps, comme le gel des activités au sein d’autres organes pédagogiques délibérants.

Abdelkrim Mammeri,  El Watan du 10 mars 2016.


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