mardi 13 février 2018

Pourquoi ne pas répondre favorablement aux doléances des enseignants de l’éducation nationale ?

Ali DERBALA. Pourquoi ne pas répondre favorablement aux doléances des enseignants de l'éducation nationale ? Le Quotidien d'Oran. Débat. Mardi 13 février 2018, p.07. 

« Un problème bien posé est déjà résolu. » Henri Bergson 

Après au moins quatre années de tergiversations, il faut reconnaître que la ministre actuelle de l'Education n'a pas pu ou n'a pas su établir des liens et des discussions sérieuses avec la communauté des pédagogues. Son slogan n'est que celui de : « les portes sont toujours ouvertes pour entamer des discussions». Ce dialogue a été entamé par les deux précédents responsables du secteur, Benbouzid et Baba Ahmed. Il dure depuis, au moins, dix années, depuis l'année 2008, année de la confection des statuts particuliers de ce secteur. C'est une vraie perte de temps pour le pays et la nation. Ce dialogue est de sourds. Il faut libérer les esprits et ne pas tourmenter les cœurs. 


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