Dans un communiqué diffusé le 6 février passé, et publié sur son web, Euromedrights (ou EuroMed Droits) a appelé "les autorités algériennes à mettre un terme à la répression et au harcèlement à l’encontre des défenseurs des droits humains et des syndicalistes". Elle a aussi rappelé que "l’Algérie s’était engagée à garantir les libertés d’expression et de réunion, conformément à sa Constitution et au Pacte international relatifs aux droits civils et politiques, lors de l’Examen Périodique Universel en septembre 2017."
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